Aujourd’hui, je couds des coasters… eh oui, le retour des coasters !
Ceux-ci sont destinés à ma future (très prochaine) boutique en ligne.
Je préfère prendre une photo d’eux ensoleillés donc je posterai le résultat demain.
Et hier je n’ai pas « rien fait » : j’ai trouvé enfin un nom pour ma boutique (que je ne dévoilerai pas pour l’instant car parano de pilleurs de noms de boutique) après m’être creusé les méninges des jours et des jours…
Ma grand-mère en faisait quand j’étais jeune. J’ai jamais trouvé sa recette, donc j’ai cherché sur internet – c’est super simple.
Ingrédients: tomates (mures) et sucre. Faut peler les tomates (le coup de l’eau chaude marche bien), ensuite les découper en petit morceaux, et ajouter du sucre (même poids que les tomates – moi j’ajoute un peu moins). Laisser bien tremper pendant une heure, ensuite cuire à feu doux. Ça prends pas mal de temps; on sait que c’est terminé quand on verse un bout dans une assiette, on fait une petite « route » au milieu, et la route reste bien séparée (tel le passage de la Mer Rouge). On bouille les flacons, et on met tout dedans.
Skypouillage: n.m. Gribouillages pendant un Skype. Anglais: Scribbleskype.
Bon, projet fail ce soir, après des heures de travail. Du coup il me faut revenir sur les photos de voyage, désolé.
Ceci était un des cadres en exposition au Tate.
Encore du Japan vintage. Cette fois j’ai recyclé un morceau de tenugui en sac en tissu tout doux légèrement molletonné. (je ne sais pas encore ce qu’il y a écrit dessus par contre…)
Comme vous le savez, j’habite à Paris, dans une rue qui à l’avantage d’être à la fois à l’écart des grandes artères passantes, et proche de plusieurs rues vivantes (restaurants, cinémas, etc.). C’est le cas de nombreuses rues à Paris, et ces rues partagent aussi un problème grave, voire dramatique.
En effet, il y a un gros désavantage qui existe depuis longtemps, et qui (je pense) n’est pas une fatalité: comme toutes les rues calmes, ma rue attire les promeneurs du crépuscule ou de l’aube, en particulier ceux accompagnés de chiens. La plupart (j’imagine) ont un bon sens civique et ramassent les crottes que ne manquent pas de produire leurs fidèles compagnons. Par contre, un (petit) nombre d’entre eux ne ramassent pas, que ce soit sur les trottoirs ou ailleurs, et ce malgré la présence d’une crèche et d’une école sur leur chemin (et oué, bravo).
Partant du principe que tout le monde peut changer, et qu’il suffit peut-être de faire un petit rappel, voici l’auto-collant « STOP CACA, CHIEN MERCI », qui se veut une aimable piqure de rappel. En cours de production (cf. ici, j’en ai profité pour ouvrir ma boutique), pour une campagne d’affichage prévue avant la fin du mois j’espère.
ps: si vous voulez l’image en haute def, je vous l’envoie. Si vous voulez une planche avec 6 autocollants, je vous l’offre (offre réservée aux membres de jaipasfini, attention).
Un t-shirt pour Myriam, réalisé au pochoir et à la peinture textile, issu d’un de ses livres préférés : Strongboy d’Ilyia Green.
Une affiche de film vue à Istanbul. C’est un peu kitsch, mais j’aime bien la construction.
Titre original: Aybiçe Kurt Kiz (1976). D’après internet: « a kind of rip-off of Red Sonja »
Petit morceau fait en environ 30 minutes. Comme quoi des deadlines aident vraiment, même l’esprit créatif. 3 takes, good take, j’accélère un peu vers le millieu, dommage. Encore un truc à finir, heureusement qu’ici c’est jaipasfini.
Je viens de découvrir Minecraft, et c’est super chouette. Des graphiques « bloc » fait exprès, qui donnent super bien, et qui nous permettent de construire n’importe quoi.
Il y a deux modes: survie et construction. Après avoir essayé mode survie quelques jours, ce soir je me suis mis à la construction (ressources illimitées) d’un temple Maya.
Voici le temple encore en construction:
L’intérieur en construction. Ça m’a pris du temps pour apprendre que les mobs n’attaquent pas en mode construction.
Ceci est le résultat final. J’ai aussi découvert par chance qu’en mode construction on peut voler, mais uniquement après tous mes efforts de construction…
J’ai essayé de faire une construction assez réaliste, avec une structure intérieure qui pourrait tenir le temple. On entre par la petite maison en haut, il y a un escalier qui mène vers l’intérieur.
Ceci est l’intérieur, on voit l’arrivée des escaliers.
Et encore un autre plan, qui montre aussi le passage vers le catacombes (à gauche des escaliers). En creusant lors de la construction, j’ai en fait découvert un énorme chemin vers les profondeurs; comme vous pouvez voir, c’est dangereux par là bas. Je vous montrerais ça bientôt.
Temps de construction: 4h.
Pas aussi bien que Balzac, mais ma réaction était tout aussi flipante. Hier soir quelqu’un n’a pas voulu attendre la St. Patrick, et s’est amusé avec un aérosol vert sur les voitures et ma moto.
A côté de la mosquée de Soliman, une boutique qui ne vend que des yeux en plastique pour peluches.
Nouvel essai de koi. J’ai mis un peu moins de temps et les finitions sont un peu mieux.
Taille de la pochette : 18 x 12 cm
Vu dans un marché couvert. Un peu flippant je trouve. (Photo: iphone-capteur-pourri).
Juste pour dire que j’ai fait un truc, dans l’avion, j’ai tricoté 3 rangs d’un projet de châle commencé au début du mois.
J’ai fait une photo mais elle est vraiment pas top, je la posterais plus tard.
Une lettre écrite à l’ancienne, pour m’excuser pour mon manque d’imagination.
J’ai fait un petit bout de code pour mes étudiants cette année, pour leur apprendre à faire de la modélisation d’environnement dynamique (par exemple, programmer des feux de forêt – sur l’image, les arbres en noirs ont brûlés). Ce matin j’ai étendu le code pour projeter l’ombre des nuages sur le sol (normalement ca bouge, mais là c’est une image donc ben…).
techos: java+opengl
