Godzilla flash résumé.
Stylo staedtler pigment liner 0,7 + un peu de rouge et de fluo qui ne passe pas au scanner.
Approximativement taille réelle.

Ce n’est pas un jour un truc mais je viens de la retrouver sur l’appareil photo.

Composition dans un bougeoir : mousse tombée d’un toit trouvée sur le chemin de l’école et figurine pour train miniature.

Tentative ratée de boule à neige : j’avais pas la bonne colle, ma tour Eiffel est trop grande, les flocons de neige s’agglomèrent, j’ai de la cyanolite plein les doigts et j’ai perdu le bouchon du globe en silicone (remplacé par de la cire d’abeille). Donc à peu près ok pour la photo mais à refaire …

PS : ça aurait dû être être ma carte de vœu 2013 … better late than never :-)

Certains d’entre vous sont allés à Kamakura je crois, nous pas finalement.
Mais nous avons tout de même ramené le grand Bouddha.

Et des touristes aussi.

Pour le mur en face de mon bureau, un petit bonhomme issu d’un tampon japonais et un ballon slogan au Rotring .10 de Niko.

et le making-of en bonus !

Une chose étrange s’est passé lors de mon retour du travail aujourd’hui. Heureusement j’avais mon appareil photo.

(Il est tellement difficile de faire les petites bonhommes! Merci à Steph pour l’aide)

Aujourd’hui je me suis promené à Paris dans les galeries du 2ème arrondissement. Il se trouve que dans une des nombreuses galeries, entre deux magasins, il y a un petit passage assez étroit (70cm de large sur 5m, vraiment étroit), qui permet d’accéder à une petite cour intérieure dans laquelle se trouve le magasin « Congécube ». Il vaut mieux être bien équipé, parce qu’il fait très froid à l’intérieur (bien en dessous de zéro). On y trouve des distributeurs où pour quelques euros on peut acheter des petits cubes de glace à -50°C contenant des micro-animaux tout à fait vivant, mais en suspension — vive le génie génétique. J’ai acheté un petit crocodile.

L’intérêt c’est qu’avec cette taille, ca ne demande pas beaucoup d’effort pour le nourrir – il grignote les peaux mortes – et il fait des crottes toutes petites – on dirait des crottes de nez, ce n’est donc même pas la peine de les nettoyer puisqu’il suffit de les coller sous une table. C’est amusant mais j’ai un peu peur de le perdre.

Aujourd’hui j’ai recyclé la tour du 01 février en un Phascolarctos cinereus.

Je conserve depuis longtemps un pack de cadres de diapos sans verre marque GEPE. J’ai décidé aujourd’hui d’en utiliser (enfin) quelques unes pour présenter des anciennes photos de famille (mon grand père ici). J’ai imprimé les mini-photos sur des transparents pour garder l’esprit diapo justement.
Ça me plait bien mais pas eu le temps de soigner l’accrochage : je voulais percer des mini trous dans les diapos pour y passer un fil.
Je pense utiliser le reste des cadres autrement. Mini-dessins par exemple. Peut-être pour un prochain jour de février.

Nicolas et moi avons une grande nouvelle à annoncer, nous attendons … un jardin ! (bon c’était facile).

Après 2 ans sur file d’attente, nous avons été avertis qu’une parcelle (gigantesque : 2m2 !) était disponible dans un jardin partagé à côté du parc Montsouris, on n’attend plus que les clés … Ce sera là : http://www.jardin-aqueduc.fr/

Du coup, je voulais commencer les semis en intérieur et décorer des pots pour les envahissantes menthe et bourrache qui ne seront pas mises en terre, mais comme je ne suis pas là ce week-end et que mes pots étaient trop petits, je me suis rabattue sur du micro-jardinage (plus symbolique qu’autre chose) : une graine germée (qui était ma seule approche du potager jusqu’à maintenant) dans un micro-pot et la déco de mon carnet de jardin acheté pour planifier le potager, prendre des notes de projets et de cultures potentielles (potimarron, shizo, capucines, etc). Reste à voir la confrontation entre le fantasme du jardinier urbain et la réalité, pour cela rendez-vous dans quelques mois …

8mm² de papier aluminium.

Premiers pliages, la loupe est devenue nécessaire, tout comme la pince:

J’avais besoin de mes deux mains, j’ai du improviser (vive les lunettes 3D à 2xrien). Pour manipuler l’aluminium, j’ai utilisé les senseurs de mon voltmètre:

Le papier aluminium n’est vraiment pas fait pour origami, ça plie de partout. Carré diagonal enfin réussi (plus d’une heure de travail):

Découpage des jambes à la lame, très dur de la mettre sur place correctement, ensuite pousser fort pour découper (surtout ne pas tirer la lame, ça déchire l’aluminium):

Et enfin le résultat final.

Plus de 3 heures de travail. Le papier aluminium n’a aucune rigidité, ça a rendu la tâche vraiment très dure (j’ai fait mes marquages correctement, mais ça ne pliait jamais là où il le fallait).

C’est aussi beaucoup trop léger: j’ai soupiré une fois, et j’ai ensuite du chercher le petit bout d’aluminium pendant une bonne paire de minutes.

J’ai foiré le pliage final d’une des jambes à l’arrière (on le voit bien d’ailleurs, dommage), du coup mettre le cheval debout m’a pris 10 minutes, suivi d’un coup sur la table qui lui a fait tomber, suivi encore de 5 minutes pour le remettre debout.

Quelques photos pour montrer l’échelle (mon petit doigt, et un stylo):

En bonus, le scientiste fou en plein travail: