Ce n’est pas un jour un truc mais je viens de la retrouver sur l’appareil photo.
Composition dans un bougeoir : mousse tombée d’un toit trouvée sur le chemin de l’école et figurine pour train miniature.
Ce n’est pas un jour un truc mais je viens de la retrouver sur l’appareil photo.
Composition dans un bougeoir : mousse tombée d’un toit trouvée sur le chemin de l’école et figurine pour train miniature.
Hier, j’ai acheté un morceau de tissus avec des robots, sans trop savoir qu’en faire.
Aujourd’hui j’ai découpé deux robots pour faire un pique-aiguilles rempli de graines de lin, fait en 5mn. Quand je lui ai montré Myriam l’a récupéré comme jouet …
Aujourd’hui, je couds des coasters… eh oui, le retour des coasters !
Ceux-ci sont destinés à ma future (très prochaine) boutique en ligne.
Je préfère prendre une photo d’eux ensoleillés donc je posterai le résultat demain.
Et hier je n’ai pas « rien fait » : j’ai trouvé enfin un nom pour ma boutique (que je ne dévoilerai pas pour l’instant car parano de pilleurs de noms de boutique) après m’être creusé les méninges des jours et des jours…
Comme vous le savez, j’habite à Paris, dans une rue qui à l’avantage d’être à la fois à l’écart des grandes artères passantes, et proche de plusieurs rues vivantes (restaurants, cinémas, etc.). C’est le cas de nombreuses rues à Paris, et ces rues partagent aussi un problème grave, voire dramatique.
En effet, il y a un gros désavantage qui existe depuis longtemps, et qui (je pense) n’est pas une fatalité: comme toutes les rues calmes, ma rue attire les promeneurs du crépuscule ou de l’aube, en particulier ceux accompagnés de chiens. La plupart (j’imagine) ont un bon sens civique et ramassent les crottes que ne manquent pas de produire leurs fidèles compagnons. Par contre, un (petit) nombre d’entre eux ne ramassent pas, que ce soit sur les trottoirs ou ailleurs, et ce malgré la présence d’une crèche et d’une école sur leur chemin (et oué, bravo).
Partant du principe que tout le monde peut changer, et qu’il suffit peut-être de faire un petit rappel, voici l’auto-collant « STOP CACA, CHIEN MERCI », qui se veut une aimable piqure de rappel. En cours de production (cf. ici, j’en ai profité pour ouvrir ma boutique), pour une campagne d’affichage prévue avant la fin du mois j’espère.
ps: si vous voulez l’image en haute def, je vous l’envoie. Si vous voulez une planche avec 6 autocollants, je vous l’offre (offre réservée aux membres de jaipasfini, attention).
Un t-shirt pour Myriam, réalisé au pochoir et à la peinture textile, issu d’un de ses livres préférés : Strongboy d’Ilyia Green.
Youhou! Un jour un truc!
Cette semaine, on laisse Myriam chez ses grand parents. J’ai pris l’habitude (depuis mon voyage au Japon le mois dernier) de faire un calendrier de l’avent jusqu’au moment on l’on se revoit. Le voici. La partie supèrieure se rabat sur les cases, afin que Myriam puisse dévoiler un jour à la fois.
En situation (c’est à dire collé sur un mur de la cuisine):
Les cartes de voeux de cette année. J’ai pas fait une photo de famille avec toutes terminées (il y avait un peu de neige, des petites fleurs, etc), mais ça donne un peu l’idée. Fait à la bourre encore une fois, j’avais plein d’autres idées mais pas le temps de les appliquer, peut-être cette année, tiens (maisons v2.0).
Ça faisait longtemps que je n’avais pas posté de truc cousu…
Voici un personnage en tissu et feutrine (pour les feuilles), yeux brodés, nez en crochet.
Il est très sournois, prenait un malin plaisir à accrocher mes fils avec ses branches et son nez pendant que je cousais ses feuilles, comme ça, l’air de rien, en regardant ailleurs…
Je ne lui ai pas trouvé de nom pour l’instant, en auriez-vous un à lui proposer?
Cette semaine, dans un flash de créativité, j’ai fait ça :
visage polenta, cheveux champignons, bouche jambon, nez mozzarella, yeux olives
J’ai aussi avancé dans un projet de couture d’après un patron vintage de 1948, j’ai repassé le patron (avec respect pour ses 64 ans !), et je l’ai recopié sur du non-tissé quadrillé. Et voici la réponse au mystère des cercles colorés, ce sont des poids à patron qui permettent d’éviter de trouer tissu et patron avec des épingles, c’est très pratique et ça a l’air beaucoup plus courant aux États Unis qu’en France !
Pour égayer la fin de ce mois de février, je vous propose un petit concours :
Le premier qui trouvera l’utilité de ces rondelles en acier zingué, collées par deux et recouvertes de ruban gagnera un petit oiseau trop mignon (pas celui d’hier, je l’ai déjà donné à Myriam). Bonne chance à tous ! Niko n’a bien sûr pas le droit de participer :-)