L’ekranoplane, c’est un concept entre l’avion et le bateau, qui vole à quelques mètres au dessus de l’eau ou de la terre. Les soviétiques en ont même fabriqué quelques uns en vrai (cf. youtube, en russe – énorme).

J’ai tenté d’en faire un en papier, mais c’est un échec. Je ne sais pas si ça vient de mon design (fait au feeling) ou de ma soufflerie (un sèche cheveux – je vous épargne la vidéo), mais ce n’est pas du tout concluant.

ps: j’ai antidaté ma vidéo, ayant un peu hésité à poster hier.

Pour utiliser l’huile d’hier. 2 cuillères dans la cuisson du riz basmati, qui lui ont donné un petit gout extra superbe. Mais c’est les champignons fris avec la crème fraiche qui on vraiment profité du gout du romarin.

Super facile à préparer. Surtout utiliser des ingrédients de bonne qualité.

Une nouvelle pose pour le lapin.
Et je me suis amusée à l’imaginer en autocollant.

J’ai atteint mon objectif #1 avec mon Raspberry Pi: faire tourner roborobo, mon simulateur de robot écrit en C++ et qui utilise la SDL. C’est pas un foudre de guerre vu la machine, mais ça tourne, et je n’ai eu aucun problème à compiler et lancer. J’en suis presque étonné.

ps: je précise que c’est bien un billet un-jour-un-truc, l’intérêt scientifique de la chose étant quand même assez limité.

Demain c’est Pâques, alors avec Myriam on a fait des brioches et peint des œufs.

Pour l’anniversaire d’une amie demain, je lui offre un <–je le dis pas au cas ou elle lise ce billet–>. Comme elle a été malade toute la semaine (une angiogastrogrippe je crois), j’ai trouvé malin de lui faire un paquet cadeau à partir d’une boîte de Fervex. Voilà.

Des cookies salés plein d’umami, en suivant cette recette.

C’est tellement rare ces derniers temps, que je me suis baladé en ville (chose tout aussi rare) et j’ai pris quelques photos.

Un peu de mal avec l’imagination en ce moment.

J’ai reçu mes autocollants. La campagne d’affichage a commencé (déjà 10 dans ma rue).

Des marqueurs à tricot en perles pour un cadeau d’anniversaire.

Hier c’était le premier concert de ma chorale : Why Notes

Entre autres chants, le Dravidian Dithyramb de Victor Paranjoti.

dravidian

Et voilà, un baluchon fort utile!

Ben oui, je creuse encore. Bientôt fini.

Un truc cousu en cours, il ne reste que 2 coutures à faire mais là j’ai sommeil…
Je posterai la chose finale demain et en attendant un aperçu des tissus utilisés.
Et hier en fait j’ai dessiné le patron.

Un peu de dessin, et du découpage. Influencé par l’excellent travail de Antoine Guilloppé et par, euh, Totoro.

Ci-dessous, le matériel que j’ai utilisé: Bristol 250g, cutter à tête pivotante et support pour découpage. Il manque mon brouillon au crayon de papier et le feutre noir que j’ai utilisé (mon pinceau Posca noir, qui eut été beaucoup plus adapté, est vide).

Une fleur. J’en ai même fait trois, mais en bouquet ça donne moins bien:

C’était sensé être encore un hommage à Tutu, mais j’ai pas pris assez de câble, et du coup j’en avais que pour 6 pates… tant pis, métamorphose, c’est devenu un alien.

Aujourd’hui, je n’ai cousu qu’un set de 3 coasters de printemps et un petit sac en tissu carpe koi rouge (j’avais prévu d’en coudre 4…).
Mais ce qui est un peu plus intéressant pour vous si vous ne les connaissez pas, c’est le groupe Tame Impala, rockers psychédéliques, que moi je viens juste de découvrir grâce à un ami facebook.
Tame Impala
Et si vous connaissez déjà, ben je n’ai rien d’autre pour aujourd’hui.