En retard, fait et posté depuis le train avec les moyens du bord. Les équations de reaction-diffusion ont ceci de fascinant qu’en changeant la valeur d’un seul paramètre, on peut obtenir des motifs allant des taches d’un léopard jusqu’aux stries d’un zèbre.
J’ai emprunté des Valerian hier à la médiathèque. Quelques vagues tentatives pour croquer le vrai personnage principal.
ps: j’antidate mon post, voyage temporel oblige.
Un dessin rapide au Rötring. A noter qu’un quart du dessin a été fait dans le noir parce que ma fille a décidé d’éteindre toutes les lumières. Objectif: pouvoir jouer avec une lampe électrique que nous a laissé Taras (elle adore, merci!).
Demain c’est Pâques, alors avec Myriam on a fait des brioches et peint des œufs.
Un peu de dessin, et du découpage. Influencé par l’excellent travail de Antoine Guilloppé et par, euh, Totoro.
Ci-dessous, le matériel que j’ai utilisé: Bristol 250g, cutter à tête pivotante et support pour découpage. Il manque mon brouillon au crayon de papier et le feutre noir que j’ai utilisé (mon pinceau Posca noir, qui eut été beaucoup plus adapté, est vide).
Première participation de Myriam à un jour un truc.
décryptage : les mains de Myriam, Kiki la sorcière avec des arcs en ciel sur sa robe, son balai, son petit chat « qui ne veut pas grandir », la pluie qui finalement ne tombe pas.
(Esquisse d’un) projet d’auto-collants politiques, basé sur un mélange d’éléments existants (humains politique et d’idées politiques)… Bayrouge et Mélocentre sont mes préférés, Sarkopire ne fonctionne pas (parce que (1) c’est un peu trop vrai (2) il est passé de mode).
Ca fait écho à mes « politicons » déjà postés il y a quelques temps, plus internationaux: ici et là.
Ces deux derniers weekends j’ai eu plein d’art moderne à voir, au Kiasma à Helsinki et puis le Tata à Londres. Je trouve toujours que la grand part c’est du n’importe quoi (mais peut-être suis-je vieux).
Alors, if you can’t beat them, join them, et voici de l’art moderne! Comme c’est coutume dans le genre, à vous de faire l’interprétation (et de me payer le prix – en solde puisque c’est pour vous – $50000).
Youhou! Un jour un truc!
Cette semaine, on laisse Myriam chez ses grand parents. J’ai pris l’habitude (depuis mon voyage au Japon le mois dernier) de faire un calendrier de l’avent jusqu’au moment on l’on se revoit. Le voici. La partie supèrieure se rabat sur les cases, afin que Myriam puisse dévoiler un jour à la fois.
En situation (c’est à dire collé sur un mur de la cuisine):