Aujourd’hui, en prévision que demain Thomas invite 8 camarades de classe pour sa fête d’anniversaire, j’ai préparé quelques surprises pour une éventuelle pêche à la ligne, je les ai enveloppées dans du papier journal (petits sachets de bonbons, insectes en plastique et balles gélifiées qui s’éclatent par terre).
Il faut dire aussi que j’ai préparé 3 gâteaux, un quatre-quart à la vanille, un gâteau au chocolat et un pain d’épice…
En 2010 j’ai acheté une bête d’iMac: 27″, 2.93GHz Core i7, 8GB RAM, SSD 256GB, HD 1GB… bref, de quoi tenir plusieurs et longues années. Je l’appelle « LeBigMac ».
Sauf qu’il y a un an, le disque dur est mort. Je me débrouille bien avec le SSD et un HD extérieur, mais les senseurs de LeBigMac trouvent que le HD intérieur doit être en feu, et il met ses ventilateurs à fond à peine 5min après que je le branche. Sans parler du fait que j’arrive plus à lancer Disk Utility du tout.
Donc, merci unjouruntruc!, aujourd’hui je me suis lancé dans une aventure iMaquienne!
1. Le point le plus dur: enlever LeBigMac de mon bureau!
2. Le deuxième point plus dur: convaincre Jani qu’un ordi n’est pas un jouet!
3. Trouver une venteuse pour enlever la vitre, qui est connectée uniquement avec des aimants. Ils sont fort chez Apple!
4. Une fois la vitre enlevée, il faut sortir le LCD, avec toutes les connexions.
5. Mi-chirurgie.
6. On sort la bête!
7. Le voilà, beaucoup plus léger et propre en plus.
8. On remet tout en place. Quelques vices en plus c’est obligé!
9. Petit moment de suspense…
10. Et le voilà qui fonctionne!
Sous ce titre se cache la remise en état d’un de mes actionJoe.
Les articulations en latex des bras et de la tête de ce pauvre gars étaient réduites en miettes après 37ans de vieillissement.
Hop on passe un élastique textile. C’est le même pour les 2 bras et la tête.
Les élastiques doivent être en tension pour maintenir le tout en place. Vient le plus difficile: la cabessa. Il faut rentrer en force un morceau de liège dans la tête en ayant pris soin de soulever le bas de l’élastique à la sortie du corps de sorte que l’ensemble soit ensuite tiré vers le bas au moment du relâchement.
Et voilà le beau gosse, admirez les pecs mesdames (et messieurs !)
Aujourd’hui GROS bricolage,
Il va falloir installer un kit de régulation de pression dans la machine à café Oscar Simonelli (mmm, bisous, bisous)
C’est à dire ça:
Faut du matos, perçeuse, clés en tout genre, pince et bien sûr tout démonter:
On commence à reconnaitre la machine, c’est presque fini après 2h de travail
Test de pression presque 9 bars, c’est juste.
Demain je règlerai la vis pression pour atteindre 10 bars.
Lorsque l’on a emménagé, j’ai peint en vert 2 blocs à bazar qui avaient toute leur place dans notre ancien studio mais qui dans notre nouveau chez nous étaient moins évidents à caser. Les peindre était une manière de les faire se fondre dans le décor. Or, là avec le mur de livres, je savais pas trop quoi en faire. Ranger les livres, c’est bien, mais et la paperasse, les magazines, le jeu de Uno… ??? On n’a pas de buffet ou de commode où les entreposer. Alors j’ai décidé de transformer un peu la bibliothèque en lui ajoutant les blocs. C’est une installation temporaire. Si ça nous plaît, je remplacerai peut-être les cales par des roulettes, de manière à ce que l’on puisse tirer plus ou moins ces petits blocs. À suivre donc.
Pas le temps! Sauf ce soir, j’attendais Flo à l’arrêt de bus à 22h — à cette heure là sur l’axe Gare de l’Est – Eglise d’Alésia, un vélo gagne au moins 10 minutes sur un bus — et j’en ai profité pour changer mes freins. Cela devrait permettre à mon espérance de vie d’aller au moins jusqu’à la fin de un-jour-un-truc-2015.
Si jamais ça marche pas: je vous aime tous!
J’avais adoré celles qui pendaient aux rideaux de chez Alice, alors je me suis cousu une guirlande en papier origami. J’avais trouvé chez Junku des petites boites avec des autocollants sakura. Je les ai collé sur une feuille de papier origami rouge (mais la prochaine fois je les collerai sur du papier fleuri aussi), puis redécoupés un à un, puis cousus à la machine à coudre en deux ou trois minutes.
Et voilà.
Je n’avais pas prévu ça mais aujourd’hui une succession d’imprévus a réveillé le mâle qui est en moi (enfin, le mâle version milieu du siècle dernier). Bref: la chasse d’eau s’est cassée, je l’ai réparée. La balance de cuisine s’est cassée, je l’ai réparée. La bague de Myriam s’est cassée, je l’ai réparée.
Ce serait chouette si demain la journée était un peu plus ancrée dans le XXIe siècle (version début de siècle, pas la fin où on mange des rats et boit de l’eau polluée).