Une petite expérience reaction-diffusion. Je sais qu’il y a une problème avec mes mathématiques, parce qu’il clignote et tend vers zéro, mais je sais pas ou.
Reaction-diffusion from tartartartartar on Vimeo.
Une petite expérience reaction-diffusion. Je sais qu’il y a une problème avec mes mathématiques, parce qu’il clignote et tend vers zéro, mais je sais pas ou.
Reaction-diffusion from tartartartartar on Vimeo.
J’essaie encore de programmer un système pour la création d’art électronique. Cette fois, je recherche une représentation simple dans laquelle l’art pourra être réalisé. Donc, c’est juste des rectangles, créé par hasard.
Pour choisir les couleurs, j’ai créé des palettes utilisant des couleurs extrait des peintures (avec cette site de web: http://labs.tineye.com/color/).
Hello,
je m’excuse d’avance car ma création de ce jour n’est pas très fun, un brin technique et le résultat n’a rien de spectaculaire. De plus je l’ai commencé il y a plusieurs jours…
Cependant le vrai truc du jour ca aura était de monter un blog ou je raconterais des trucs electroniques. Je suis sur qu’au moins il y aura 1 article dedans: celui ci (mais en anglais).
(D’après une idée de Virginie: vive le recyclage :p)
Bref, voila je raconte le problème: pour faire une petite installation interactive, j’ai acheté des cartes electroniques Lecteur RFID 125khz ici. Ca marche super bien, et ca permet de faire des trucs droles en détectant et reconnaissant les objets qu’on pose sur le lecteur, comme dans les médiathèques modernes, les controles d’accès d’entreprises, de cantine, navigo…
Malheureusement quand on pose le badge, on recoit l’identifiant du badge, mais on ne sait pas quand l’humain l’enlève. J’ai épluché tout les forums y compris celui du constructeur et c’est pas possible, dixit le contructeur. Y a bien un mode tordu qui existe le mode « weigang26 » avec l’option « Special Design », cependant il faudrait l’activer dans l’usine de production donc niet, « et pis a ce prix la mon bon monsieur… ».
Et voila la bidouille qui commence: je me suis dit: allons il doit bien y avoir un moyen de trouver l’information quelque part dans le circuit imprimé. Donc avec un collegue et un oscilloscope, on a regardé ce qu’il se passait sur chaque point du circuit imprimé quand on laissait, puis enlevait un badge. Au bout d’une quinzaine de peek on a trouvé une patte interessante, et donc il m’a gentiment soudé un fil dessus.
Puis chez moi, à tête reposé, j’ai codé un petit script en python pour analyser tout ce qui sortait de la patte, j’ai découvert une séquence, puis j’ai programmé un petit détecteur simpliste de cette séquence dans un arduino et « hop », ca fonctionne (bon le « hop » a duré quand même presque 1 heure à régler):
Bref je suis super content, et a mon niveau je me sens comme le roi du monde. Je suis sur qu’au moins 50 personnes dans le monde vont etre super content de ma trouvaille…
Et donc l’article dans mon nouveau site du jour est/sera la.
Allez à demain, et promis je vous fait une création un peu plus créative et physique… j’ai ma petite idée…
Aujourd’hui, je lisais au sujet de «equiluminance»: une palette avec des couleurs avec la même luminosité. Apparemment, il confond une partie du système visuel, mais pas tout du système visuel, donc il peut être exploité dans l’art. Voir les tableaux d’Anuszkiewicz (par exemple).
(En passant, «Anuszkiewicz» sonne comme le genre de nom que j’aurais crée quand j’avais 13 ans pour un faux membre de ma famille dans une blague ka-ka.)
Ci-dessous, quelques-unes de mes photos transformées à equiluminescence. J’ai remplacé les teintes avec les valeurs originales de luminescence, et remplacé les luminescences avec une constante.
Ma tentative de créer un arbre Virgi-esque. J’ai passé beaucoup trop de temps à essayer de choisir des paramètres de recréer son dessin. :) Le résultat est intéressant, même si je n’ai pas réussi à capturer son esthétique.
Comme toujours, le source ruby
Pendant longtemps, j’ai voulu faire des animations par genetic programming. Voila, ma première tentative.
Hypnotique, non? (Faire de la vidéo est vraiment difficile, on disait! Mon timing ici est nul.)
Après avoir lu un article super cool sur la production des motifs textiles, je veux passer de l’échelle de gris à un petite palette des couleurs.
En absence d’autres idées, j’ai tiré de mon ancien logiciel de l’art évolutionnaire et j’ai commencé à chercher des trucs Khamsin. J’ai trouvé deux. Voila:
Unu truc «please don’t touch». C’est encore les walkers, mais cette fois, ils ressemblent à des vers. Ils se promènent en évitant d’autres vestiges. S’ils entrent en collision, ils meurent.
Il y a un petit bug: Je ne regarde pas pour les vestiges près de la tête de la walker, puisque je ne veux pas qu’ils voient leur propre corps. Donc, parfois, deux walkers peuvent occuper la même place. Je peux le réparer, mais meh.
Depuis un an,j’ai eu l’intention de concevoir un generative system qui pourrait produire des dessins. C’est ma première étape. Finalement, j’espère de faire des agents intelligents, mais pour l’instant ils se déplacent par hasard. Je l’ai prototype par la Processing, et puis à la Java.
Pour une nom, je pense à… Walkers? Strollers?
Aujourd’hui, j’ai joué avec un nouveau modèle pour générer des neurones. Enfin, ils sont probablement pas très utile pour mon travail. Mais ils sont mignons.
starburst amacrine cell (mammalian retina)
cotrical pyramid cell (rat somatosensory cortex)
bullshitical ridiculosine cell (sapien homunculus cortex)
Si vous devez le savoir, ils viennent d’ici:
Cuntz, Forstner, Borst, Hausser, « One Rule to Grow Them All: A General Theory of Neuronal Branching and Its Practical Application », PLOS Computational Biology Vol. 6 No. 8 pp. 1–14 2010
Ce soir, petite séance de circuit bending avec illustrations visuelles et sonores (pour le courageux qui se reconnait).
Je me suis acheté quelques pédales d’effets ici (en plus de celles que j’ai amenées de Paris ;j’ai une douzaine de specimens là :) ), et notamment quelques unes de la marque Arion. Marque intéressante : c’est pas cher du tout et ça se voit mais à l’intérieur c’est souvent assez intéressant (notamment certaines distortions/overdrives/fuzz). Donc, dans la famille Arion j’ai par exemple monsieur Octave.
Monsieur Octave est un gentil effet pour guitaristes qui extrait grosso modo des sinusoides une ou deux octaves en dessous de la fondamentale du signal d’entrée et les mixe avec ledit signal. Bon, j’ai largement moins d’expérience avec les octavers qu’avec les delays ou les fuzz mais celui de chez Arion me semble (en tous cas pour le prix, moins de 3000 yens) fort raisonnable. Ca rend la Precision Bass encore plus grasse et ça fait frémir le Casio de plaisir. Mais monsieur Octave est simple et gentil, trop gentil. Donc on va ouvrir monsieur Octave, regarder ce qu’il a dans les entrailles et pratiquer un peu de chirurgie sauvage.
Méthode :
1) on attache monsieur Octave au Concertmate 500 (celui qui a une sortie jack toute neuve) d’un côté et à l’entrée de la carte son de l’autre. Parce que la table de mixage est un peu plus loin et de toutes façons je n’ai pas de place sur le bureau à machines à son.
2) on ouvre monsieur Octave avec un tournevis et on expose ses circuits intimes.
3) on tripote un peu tout ce qui passe en espérant que ça fasse des bruit intéressants.
Bon, je raccourcis un peu mais en gros c’est ça. Pour un effet comme celui-là c’est plus pratique d’avoir un son continu en entrée, et certains sons du SK1/Concertmate 500 sont idéaux pour ça. Mais je n’ai pas trois mains et je ne peux pas garder mes doigts sur le clavier. Du coup, on utilisera la méthode dite des « bouts de carton », en image ci-dessous.
Après, c’est parti pour l’exploration. Pour commencer je fais dans le basique : connecter des points 2 à 2 directement en utilisant soit un tournevis dans chaque main (et le corps qui sert de résistance) soit avec un cable croco reliant les tournevis. Après quelques minutes j’ai répertorié plusieurs points intéressants, que j’ai pris en photo au passage avec mon téléphone (ça aidera à ne pas oublier et à noter ça proprement un peu plus tard). Comme il y a du potentiel ici, je vais refaire une ou deux sessions et bien réfléchir à ce que je garde et à où je peux coller des switchs/boutons/etc. sur la pédale. Donc pas de fer à souder pour ce soir, ça sera pour une autre fois.
Pour le courageux qui a lu jusqu’ici et qui est prêt à supporter quelques minutes de bruit (aimer Pan Sonic est presque un prérequis pour écouter le mp3, je vous préviens), voici un petit enregistrement pris sur le vif avec le micro de mon Zoom H1 posé à côté de mes KRK. Au début je met mes bouts de carton pour faire jouer les notes du SK1, j’allume l’octaver et ensuite c’est parti pour l’exploration sonore.