Du n’importe quoi avec Processing. La seule particularité: chaque image du rendu vidéo n’est composée que de carrés de tailles identiques, dont la rotation dépend de la luminosité du pixel correspondant sur l’image source (webcam). La forme nous apparaît donc grâce à la rotation particulière de chaque carré. Il y a aussi une sorte de délai (volontaire) dans le traitement des images. Comme quoi, le cerveau et la vision, c’est quand même pas mal balèze.
Un autre exemple, appliqué à un dessin (papier) que j’avais fait hier:
Un deuxième essai au stylo-pinceau. J’en profite pour partager un lien: le site doraballa-ommo, que je regarde depuis pas mal de temps et qui blog régulièrement des travaux monochromatiques autour des lignes, des points, et quelques fois des pixels.
Flo vient de ramener un repose-pied Ikea qu’elle a acheté sur leboncoin.fr — Non seulement je doute de l’utilité de cet objet, mais surtout le précédent propriétaire avait choisi avec bon goût une housse à la teinte jaune-pipi super moche (là ça se voit pas à cause de mes réglages photo, dommage, c’est très pisseux). Pour marquer ma désapprobation, je l’ai re-décoré pendant que flo avait le dos tourné (ceci dit, elle était d’accord avec moi).
Si votre maison/appartement prenait feu, que souhaiteriez-vous emporter avec vous? Comment faire un compromis entre le pratique, le précieux et l’attachement sentimental? C’est la question que pose le site The Burning House, et à laquelle chacun peut donner sa réponse sous la forme d’une photo. Voici ma participation.
mon ordinateur et mon disque dur externe (pour mes photos, surtout)
mon appareil photo (c’est un cadeau) et mes deux objectifs préférés
de l’aspirine, le plus formidable des médicaments
mon passeport et mon porte-feuille
la montre de mon grand père (achetée en 1958, qui fonctionne encore)
mon Staedler 0.1, mon critérium 0.5 et un carnet à dessin
ma lampe frontale (on ne sait jamais)
mon casque audio
mes clés de vélo
mon Sansula
la poupée de Myriam (que j’emmènerai aussi, bien sûr)
ma statue de Ganesh de 14kg, si j’ai un bras de libre
Finalement pas grand chose. Beaucoup de choses peuvent se racheter (les livres, les affaires de piscine, etc.) ou se retrouver (tirages photo à partir du fichier numérique) et beaucoup de choses ne sont finalement pas si importantes (tous les souvenirs qui prennent la poussière sur l’étagère).
A part pour la statue de Ganesh, je viens de réaliser que tout ce que j’ai mis ici se retrouve d’ailleurs généralement dans mon sac quand je pars en voyage.
Pourquoi un papillon écrasé? Pour la première fois, aujourd’hui, j’ai peint avec de l’acrylique. C’était très raté. Le papillon, c’est ma palette de couleurs, déposée sur une feuille, pliée en deux.
ps: Petite dédicace à Louis au passage, qui je trouve se débrouille très bien à l’aquarelle. Même si tu participes pas à un-jour-un-truc, ca ferait plaisir de te voir poster une fois pour dire bonjour :-)
Aujourd’hui je me suis promené à Paris dans les galeries du 2ème arrondissement. Il se trouve que dans une des nombreuses galeries, entre deux magasins, il y a un petit passage assez étroit (70cm de large sur 5m, vraiment étroit), qui permet d’accéder à une petite cour intérieure dans laquelle se trouve le magasin « Congécube ». Il vaut mieux être bien équipé, parce qu’il fait très froid à l’intérieur (bien en dessous de zéro). On y trouve des distributeurs où pour quelques euros on peut acheter des petits cubes de glace à -50°C contenant des micro-animaux tout à fait vivant, mais en suspension — vive le génie génétique. J’ai acheté un petit crocodile.
L’intérêt c’est qu’avec cette taille, ca ne demande pas beaucoup d’effort pour le nourrir – il grignote les peaux mortes – et il fait des crottes toutes petites – on dirait des crottes de nez, ce n’est donc même pas la peine de les nettoyer puisqu’il suffit de les coller sous une table. C’est amusant mais j’ai un peu peur de le perdre.
Aujourd’hui, je ne savais pas trop quoi faire, alors j’ai décidé de couper un verre en deux. C’est surprenant de facilité quand on utilise une bonne scie à métaux. Et puis symboliquement, le verre coupé en deux, c’est un peu comme un message pour dire qu’on en est déjà à la moitié du mois un-jour-un-truc :-)
AVERTISSEMENT : cette cascade est réalisée par un professionnel, ne pas reproduire chez soi.
J’aime bien les estafettes, ça fait « vintage ». Quand j’étais enfant il y en avait encore pas mal – de mémoire on en trouvait principalement dans les campagnes, sur les terrains de vol à voile, chez les pompiers et dans les gendarmeries. Plus fabriquée depuis 1980, c’est avec une certaine nostalgie que je revois tes formes, estafette.